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| Nationalité du Personnage : Japonaise. Métier du Personnage : Botaniste spécialisé en Horticulture. Multi-Compte ? : Luis ▬ Engel ▬ Cian Kagetora Nozomi | Jeu 16 Jan - 10:59 |
| Bonjour à vous.
Je m'appelle Nozomi Kagetora mais mes amis non-japonais aiment m'appeler Nono ou Tora. Les autres préférant un simple -kun après mon nom. J'ai physiquement 36 ans et suis originaire du Japon. J'exerce la fonction de Botaniste spécialisé en Horticulture au sein des Guerriers d'Avalon.
Côté famille, j'ai rejoint le projet Noé avec mon oncle. Aux yeux de la colonie, je suis célibataire. | |
Ce qu'on dit de moi Descriptions Physique et Mentale Hum… Comment me définir ?
Je suis un homme dont les traits asiatiques sont assez facilement visibles. Mes yeux portent bien leur petit air bridé, malgré leur teinte d’un vert profond. J’ai des cheveux d’un noir profond, que j’ai put laisser pousser pour qu’il m’arrive jusqu’à la chute de reins. Tant que je les attache, ça ne dérange pas pour mon travail. D’ailleurs, c’est pour ça que je les tresse assez souvent ou que je les porte en queue haute, en chignon ou en catogan.
Ensuite, j’ai une bonne musculature. Mon oncle tenait un dojo de karaté alors bon, j’ai grandit en y étant membre on s’en doute. Même si c'était aux alentours de mon adolescence seulement, mais j'y reviendrais. Dans tout les cas, j’ai gardé des manies sur le sujet. Après, le fait d’être neurocompatible induit que j’ai des heures d’entraînement obligatoire donc bon, l’avantage, c’est que ça aide à garder la forme et maintenir un corps fonctionnel, sportif.
Je ne suis ni petit, ni grand. Un mètre soixante-onze, c’est assez « normal » je pense. Niveau poids, ça oscille en fonction de si je fais des écarts, ou de ma masse musculaire. Mais c’est généralement situé entre les soixante trois kilogramme et les soixante-douze kilos.
Oh, j’allais oublier le plus important ! Ce qui interpelle vraiment quant on me rencontre. Mon tatouage. Enfin, j’en parle au singulier car pour moi c’est un seul tatouage, un irezumi, mais pour les gens c’est « plusieurs tatouages ». De la tête jusqu’au cou si on peut dire ça. Il s’agit de pivoines, pour leur symbolique de la richesse et bonne fortune, qui parsèment mon corps au gré des mouvements d’un dragon bleu. Il s’agit du Seiryuu, le dragon azur de l’est dont la tête se trouve sur mon pectoral droit alors que la queue est visible sur mon pectoral gauche. Sur le haut des mains, le Ying et le Yang, alors que mon dos voit l’idéogramme de la moralité « Gi ». Pourquoi ce concept ? Influence familiale j’imagine ?
Pour ce qui est de mon caractère, ce n’est pas une question vraiment facile. Franchement, je serais du genre à ne vous donner que mes qualités ! Mais car on va me passer dessus dans le dos, mieux vaut que je la joue honnête.
J’ai le sang chaud, et c’est un gros défaut qui m’a valu pas mal d’ennuis dans le passé… et qui fait que j’ai serré les fesses lorsque le projet Noé a étudié mon profil. J’aime looser plutôt que de travailler, sans pour autant ne pas aimer mon taf. En vrai, sur Terre, mon taf m’ennuyait car ben… On ne peut pas dire qu’il y avait grand-chose à découvrir. On suivait des protocoles et au mieux, on cherchait à les optimiser. Au moins, SP-35R-4, ça change des habitudes et ça rend les journées plus fun !
Mon côté sang chaud et tête brûlée me rend téméraire plus que courageux je pense. Je suis du genre ultra-compétitif en fait, et si je sais accepter et reconnaître une défaite et donc, une infériorité par rapport à quelqu’un ou quelque chose… c’est pas pour autant que je ne ronchonnerais pas, ou pire, ne tirerais pas la gueule.
Avec le temps, je suis devenu assez social. Taper la tchatche avec des inconnus, ou sortir avec des potes : j’adore. Mais en même temps, je n’ai pas toujours été comme ça. Adolescent, clairement, j’étais plutôt le gamin renfermer et hautain, qui penser limite que seule les études importaient. Et donc, comment l’élève modèle est devenu un petit rebelle, pardon, un bon vivant ? Ben, en pétant un plomb tout simplement !
Depuis, si j’ai conscience de l’importance des études pour trouver un travail, j’ai surtout conscience qu’on a qu’une seule vie. J’ai trouvé mon équilibre en étant passé par deux extrêmes, et je pense être devenu un type qui aide ses amis et fait un gros fuck aux personnes qu’il ne supporte pas. Après, pour certain, je ne fais pas sérieux pour un scientifique, et pour d’autres je suis juste « jeune et moderne ».
Moi, je me dis, je suis qui je suis et si je plais ou pas je m’en fou. Je suis curieux, compétitif, pas trop démonstratif car très dans le paraître, avec son petit caractère. Et je m’en fous si ça dérange certain. Écoutez mon histoire Le Background du personnage Mon histoire, elle commence au Japon dans la grande ville de Tokyo. Il est bon de noter que je suis fils unique, et niveau famille ben, on peut dire que j’ai été verni. Ou pas.
Mon père, voyez-vous, c’était un médecin. Et sa carrière, ben, elle comptait parfois plus que sa famille je pense. Enfin, comptait, vu que 60 ans sont passés depuis mon départ, ça marche de parler au passé je pense. Mais quand je suis partie, il m’avait renié de son existence alors bon. Ma mère, elle, c’était la mère au foyer relativement envahissante. Elle ne parlait jamais de sa famille, et je n’ai découvert l’existence de mon oncle, son frère, des années plus tard.
Mon cadre de vie était tout ce qu’il y a de plus normal et sain, vraiment ! Ok, je me fous de votre gueule en disant ça. Père absent, mère qui subissait la pression sociale des autres mamans de gosses de bonne famille, et qui donc… Me mettait la pression pour que je sois le fils parfait. La première fois que j’ai eu une « mauvaise note », je me suis pris une putain de gifle ! Et puis, attention, fallait pas que je sorte avec des amis ! Pire, je ne devais pas avoir des amis, car les amis, ça vous détourne des études. Et que de toute façon, les seuls amis acceptables sont ceux « sélectionné » par maman avant car jugé « digne de moi » et non comme des « mauvaises fréquentations ».
Honnêtement, je crois que vu mon cadre de vie enfant, je suis étonné de ne pas avoir mal tourné ou ne pas m’être suicidé au passage ! Et disons que jusqu’au collège, j’arrivais à tenir. Mais déjà, en troisième année de collège, la soupape était sous pression. Et ce qui a fait péter la cocotte-minute, c’est la situation au lycée.
Quand je suis rentré au lycée, j’ai voulu rentrer dans un club à l’école. Même si ma famille écrasait ma personnalité, que j’avais développé une grosse froideur et que j’intériorisais tout… J’avais envie de changer. J’avais envie de rejoindre l’équipe de basketball du lycée. C’est tout con comme envie, et ben non… ça a capoté. Je l’ai rejoint en douce en fait, mais quand ma mère l’a sut… J’ai eu le droit au pire. A la mère qui se plaint, et qui plombe le club car, voyons, j’ai forcément été forcé et c’est pour ça que mes notes ont baissé !
Vous voyez le genre ? Ben, j’ai pété une durite. Un plomb. Ce que vous voulez qui fait que j’ai ravagé le bureau du directeur où avait lieu la conversation, gueuler sur ma mère, et tout simplement… me suis cassé. Ouais, pendant plusieurs jours j’ai sonné en logeant dans des café mangas, et en trainant dans les rues. J’ai même essayé de fumer… mais le goût était horrible alors je m’étais rabattu sur des sucettes à la fraise. J’adore les fraises.
Ma fuite, ça a fait gueuler chez mes parents qui se sont renvoyé la faute. Et, au final, mon père a osé dire que c’était à cause des gênes de ma mère. Je ne sais pas trop ce qui s’est passé à ce moment là, mais j’ai été retrouvé. Et ce ne sont pas mes parents qui sont venu me récupérer mais mon oncle. Ouais, j’ai découvert que j’avais un oncle quand j’étais au lycée… Et qu’aux yeux de mon père, mon oncle, c’était un looser.
La première chose qui m’a choqué, outre de découvrir un parent et d’apprendre que ma mère et mon père ne voulaient plus me voir à moins que je ne demande pardon et ne rentre dans le moule, c’est de découvrir la profession de mon oncle. Un karatéka, qui avait son propre dojo. Dans une zone pas super bien cotoyés en vrai.
En tout cas, je dois beaucoup à mon oncle. Il m’a apprit le karaté, qui m’a aidé à canaliser la colère que je ressentais à l’époque et que je refoulais. Il m’a aussi botté le cul tout en étant toujours disponible quand j’avais besoin de lui. Plus tard, j’ai apprit que c’était mon père qui avait toujours refusé que je le rencontre, car il le jugeait de mauvaise fréquentations. Mon oncle, outre d’un athlète d’un sport de combat, c’était un type qui avait trempé plus jeune dans des histoires de gang et de yakuzas.
Bon, il s’est rangé y’a longtemps, mais ses conneries de l’époque où il était mineur, mon père ne les avait pas effacé alors que son cassier était pourtant de nouveau vierge. Et pour mon paternel, je devais suivre le même chemin qu’oncle Kiyasu.
Le temps à filer, j’ai fini mes études. Je me suis orienté dans les sciences, notamment celle des plantes. Et l’horticulture plus précisément. Pourquoi ? Car j’aimais ça. Au même titre que j’aimais jouer au basketball ou faire du karaté avec mon oncle. J’ai fais ma life, sans plus de contact avec mes parents. Ah, si, ma mère est revenu vers moi une ou deux fois. Bon, un peu plus que ça. Elle a arrêté de venir vers moi quand elle a découvert que je me faisais tatouer. Là, elle a du croire que je trainais avec des yakuzas ou que sais-je encore.
Pourtant, à notre époque, si le tatouage restait mal vu par les plus conservateurs, il était devenu plus commun. Moi, je trouvais ça classe, beau, et j’avais envie de porter un irezumi. J’ai économisé, et il m’a fallut onze ans pour le compléter ! Car ouais, son tracé a été fait quand j’avais 21 ans… Et avec l’argent que je gagnais en petits boulots, puis une fois horticulteur et avec un travail, j’ai complété mon tatouage. On peut dire, sans mauvais jeu de mot, que je me suis saigné pour lui !
Lorsque j’ai entendu parler du projet Noé, je m’y suis inscrit avec mon oncle. On pensait qu’il ne passerait pas à cause de ses conneries à l’époque où il avait 19-20 ans, mais c’est passé. Et moi, mes qualifications professionnelles étaient recherchées donc voilà.
Un mois après le crash, j’ai été réveillé. Besoin de mains d’œuvres pour la gestion des serres et le fait de vouloir accroitre la production en fruits et légumes de la colonie. Car qui dit plus de denrées, dit plus de réveils. La surprise, c’est ma neurocompatibilité. Sur le coup, j’ai pas trop aimé car j’ai eu l’impression d’être forcé à devenir quelqu’un d’autre, une sorte de protecteur. Et j’ai un rapport assez conflictuelle avec ce qui est « forcé » si vous avez bien suivit.
Mais, les entraînements, la classe d’Ansatsuken, le soutien de mon oncle, le fait de découvrir un nouveau monde… J’ai adhéré quoi. Après un bon mois de formation, j’ai eu ma première sortie en solo avec une équipe de militaires. Rien ne laissait entendre que ça allait mal finir, franchement. On devait juste aller récupérer des échantillons de champignons purifiant, pour une étude que je devais faire dessus. Je me demandais si ça ne pouvait pas servir aux usines de dessalement…
Le truc qu’on n’avait pas prévu, c’était de rencontrer ce spécimen en particulier. La première rencontre de membres d’Avalon avec celui qui fut nommé « Scorphibien ». Et franchement, ça a mal tourné. Très mal tourné. Je n’ai pas réussi à contenir la créature sans heurt. Lautaro y a laissé la vie. Et là où ça m’a encore plus touché, c’est que je travaillais souvent aux serres avec son épouse : Alihuen.
Aujourd’hui encore, je regrette de ne pas avoir put faire fuir la créature sans que Lautaro y laisse la vie. J’ai clairement la haine contre cette bestiole, d’autant que je n’ai put que la faire partir sans même la vaincre. Une vraie saloperie. J’ai plongé dans l’entraînement depuis lors, et il a fallut une mandale de mon oncle pour que je ne me noie pas dans le taf, car je passais mon temps à l’entraînement ou dans les serres.
Par contre, j’ai utilisé mes contacts pour confier à Alihuen une serre expérimentale. Une façon, pour moi, de garder un œil sur elle à défaut d’avoir eu les couilles d’aller m’excuser. Je n’arrive même pas à imaginer ce qu’elle a ressenti et ressent de cette perte… Et j’ignore si j’ai envie de le savoir, car si je fais le fier je ne suis pas non plus sans faille, ni très héroïque.
Au moins, la perte de Lautaro a fait se raffermir les conditions de sorties et protocole de sécurité. Depuis, y’a eu des blessés mais pas de mort lors de sortie. Et, au fond, je veux que Lautaro soit le dernier à tomber lors de telles évènements. En tout cas, il est hors de question que quelqu’un qui m’accompagne y reste comme ce jour-là. Derrière le Personnage Lou Ainsel, 28 ans | » Comment as-tu découvert le forum ? J'suis Luis, l'autre admin. » Comment se nomme le concepteur des noyaux d'Écailles d'Avalon ? Ok, by Moi. » Le personnage sur ton avatar : Shinjuku Assassin de la saga Fate. » Un dernier mot ? Piou. |
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Dernière édition par Kagetora Nozomi le Ven 17 Jan - 17:29, édité 6 fois |
| Nationalité du Personnage : Japonaise. Métier du Personnage : Botaniste spécialisé en Horticulture. Multi-Compte ? : Luis ▬ Engel ▬ Cian Kagetora Nozomi | Jeu 16 Jan - 10:59 |
Ansatsuken 暗殺拳 [あんさつけん] » Numéro de Série du Noyau : n°700
» Armature : L’armure n°700 est une armure intégrale qui renforce les capacités physiques de son porteur. Elle n’est pas plus grande que son utilisateur, mais dispose d’une armature solide, renforcée par une épaisse couche de blindage. Elle reste relativement sobre dans son apparence et ses couleurs. - Image Facultative:
» Capacités et Armement : La capacité principale d’Ansatsuken, c’est sa puissance.
Dotées de turbines qui convertissent la chaleur en énergie cinétique, la puissance de frappe mais aussi de saut de l’armure s’en retrouve renforcée. Son blindage vient appuyer un puissant champ répulsif. Néanmoins, une grande partie de l’énergie de ce-dernier servant à la défense, Ansatsuken est une armure dont la manœuvrabilité en vol ou en mer est délicate.
Afin d’exploiter au mieux la force et la vitesse au sol de l’armure, ainsi que les compétences de son porteur, l’équipe de l’UTRD a développer des armes spécifiques.
▬ Tonfas de Fracture : Ces armes expérimentales, d’une grande solidité, génère des ondes de choc capable de briser du béton armé comme du cristal. Ils puissent en grande partie leur puissance destructrice des turbines de l’Ansatsuken. Plus l’armure vient à charger ces tonfas avant de frapper, plus l’impact sera puissant et violent. Son point faible est donc sa vitesse de charge qui rend les frappes successive moins puissante que la première.
▬ Nova : Système qui a été intégré au niveau des jambes de l’armure, il s’agit en réalité d’un outil de stockage de l’énergie déployé par l’armure. Lorsque le système Nova est chargé, il permet de déployer une importante onde de choc tout autour de l’écaille. Cette onde de choc s’accompagne d’arc électrique relativement puissant. Néanmoins, Nova n’est a utilisé qu’en dernier recours car son action a tendance à faire surchauffer les turbines de l’Ansatsuken, diminuant ainsi ses capacités pour un temps plus ou moins long.
Ainsi, Ansatsuken est une écaille au fort potentiel de destruction, pensé pour le combat au corps à corps et l’encaissement de dégâts.
Dernière édition par Kagetora Nozomi le Sam 16 Jan - 16:26, édité 2 fois |
| Avalon | Ven 17 Jan - 17:40 |
Bienvenu sur La Nouvelle Avalon Félicitation Félicitation ! Ton personnage est validé, nous te souhaitons la bienvenue sur La Nouvelle Avalon et espérons que tu t’amuseras bien parmi nous ! Afin de commencer à jouer sur de bonnes bases, nous t'invitons à aller recenser ton avatar afin d’éviter de potentiels conflits quant aux images/personnages pour les nouveaux arrivants. Nous te demanderons aussi d'aller recenser ton métier et ton Écaille si tu es un guerrier. Si ce n'est pas ton premier personnage parmi nous, merci de nous le signaler dans le Registre des Multiples Personnalités. A tout cela, s'ajoute le fait d'éditer ton Profil. Tu remarqueras qu'il y a de nombreuses informations à y entrer. C'est facultatif, mais tu peux aussi réaliser une fiche de suivi RP/Relations ! Nous avons aussi la Messagerie pour les rps de type "épistolaires/mail/sms". Le lien de sa boîte est à mettre dans son profil soit dit au passage Pour te lancer en rp, tu peux consulter ou faire ta propre demande de rp dans le forum mis à ta disposition pour cela ! Tu pourras aussi y faire verrouiller tes topics clos, demander des lieux, trouver le code nécessaire si tu désires proposer des prédéfinis, pnjs, créatures ou plantes à l'administration. N'hésite pas à contacter le Staff par MP si tu as un problème ou une question. Merci d'avance en tout cas, de prendre le temps de remplir tout ça. Même si, je le sais, ça fait un peu beaucoup. Le staff te souhaite, à nouveau, la bienvenue !
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