Revenir en haut Aller en bas
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal

Cian O'Dubhain. La violence ne résout rien... N'est-ce pas ?!

Âge du Personnage : 28 ans.
Nationalité du Personnage : Irlandaise.
Métier du Personnage : Violoniste / Guerrier d'Avalon
Multi-Compte ? : Luis R. Higan
Cian O'Dubhain
Cian O'Dubhain


Cian O'Dubhain. La violence ne résout rien... N'est-ce pas ?! Empty
Message Lun 27 Mai - 16:53
Guerrier d'Avalon
Cian O’Dubhain
"L’âme n’aurait pas d’arc-en-ciel, si les yeux n’avaient pas de larmes."

Bonjour à vous.

Je m'appelle Cian O’Dubhain mais mes amis aiment m'appeler Cici ou Ann. J'ai physiquement 28 ans et suis originaire d’Irlande. J'exerce la fonction de Violoniste de renom et pacifiste au sein des Guerriers d’Avalon, à mon grand regret.

Côté famille, j'ai rejoint le projet Noé avec mon beau-frère. Aux yeux de la colonie, je suis Célibataire.

Ce qu'on dit de moi
Descriptions Physique et Mentale

On peut dire que j’ai un côté doux, calme et serein. Je suis plutôt avenant mais j’ai une certaine timidité qui m’empêche de faire le premier pas. En un sens, je suis celui qui observe et qui n’aura aucune difficulté à discuter : si tant est que vous êtes venus me parler en premier. J’ai du mal à venir vers les autres, car j’ai la désagréable sensation de m’immiscer, de déranger, si je le fais.

Ma mère a souvent dit que j’étais un enfant calme, et peut-être trop sensible. Je suis probablement un peu naïf et simplet aussi. J’ai conscience que se sont mes proches qui, souvent, m’ont empêché d’être escroquer ou manipuler. J’ai une facilité à voir le bien dans les gens, ou plutôt, j’ai du mal à voir le mail ? J’offre ma conscience sans arrière pensée, et j’aime avec une facilité qui déconcerte. On m’a plusieurs fois dit que mon cœur était une bougie qui fondait face à la moindre tendresse et chaleur. J’aurais du mal à démentir. J’ai probablement eu plus de chagrin d’amour que beaucoup d’autres… Mais c’est car je m’attache facilement aux personnes qui daignent m’approcher. Ce n’est pas forcément l’Amour comme la majorité des gens l’entendent, mais la séparation est une douleur qui m’attriste et que j’exorcise par ma musique.

Je suis un peu maniéré il paraît, mais c’est plus car j’aime prendre soin de moi, et que je suis un peu douillet. D’accord, j’ai un côté parfois chochotte : j’avoue. Je fais très attention à mes mains et à l’entretien de mon corps sur le plan physique et sanitaire. Je suis un peu maniaque aussi, mais l’ia domotique de mon logement est parfaite pour ça. Je suis d’un naturel sérieux et motivé quant on en vient à mes passions. Pour le reste, je suis un peu le rêveur en dilettante ?

Que dire de plus ? Ma peur de la douleur ? Ma peur de faire du mal ? Mon refus de faire couler le sang ? Ma peur de tuer une vie, même animale ? Je déteste la violence, je déteste ce qui cause de la peine… J’ai conscience que la « violence » d’une armée ou des guerriers d’Avalon est indispensable pour notre survie. Mais en être un vecteur, une personne qui use de ses talents pour protéger tout en tuant des êtres vivants : ça me terrorise purement et simplement. Alors, j’esquive, je fuis, je joue le benêt qui a oublié son noyau ou ses armes. J’ai conscience que je ne pourrais pas fuir longtemps mais… Je ne m’attendais pas à ça quand j’ai rejoint le projet !

Quand j’y repense, mon cœur se serre et mes yeux doré voient perlés quelques larmes. J’ai le visage fin, et des doigts longs de musiciens. Ma mère disait que j’avais des doigts de pianistes, et même si je sais en jouer ce n’est pas mon instrument de prédilection au final. Je suis un rouquin à la longue chevelure de feu, et à la peau clair. Par chance, je n’ai pas de tâches de son, et j’ai une vraie peau de bébé ! Je suis un peu mince mais comme j’ai une masse musculaire assez nerveuse la balance indique un poids correct pour mon mètre soixante-douze. Enfin, j’aime porter des vêtements unisexe, ou sinon, le costume qui restait mon uniforme de travail.

Je ne suis pas laid de ce que je sais. Mais j’ai surtout un côté un peu naturel. Bon, juste, on croit parfois à tord que je suis de genre fluide. Comme j’ai des manières, et que j’ai une certaine androgynie que je cultive avec mes tenues unisexe… Et probablement mon côté artiste et bohème. Pourtant, je suis un homme. Un homme sensible, parfois un peu efféminé je le concède, mais un homme.

Oh et, on pourrait penser que je suis un Saint vu mon profil mais ce n’est pas le cas. Les gens qui blessent mes proches, ou me blessent, je ne leur pardonne jamais. J’ai la rancune extrêmement tenace et je me ferme alors comme une huître. Et aussi, je ne bois jamais d’alcool car je ne tiens pas ces-derniers. J’ai une tendance à devenir violent ou vulgaire quand je suis ivre, et après, je culpabilise énormément ! Enfin, je suis têtu comme une mule quand j’ai une idée, un objectif, en tête. Ce qui fait que je donne parfois l’impression d’être arrogant ou insolent, alors que non, je ne pense pas l’être…

Écoutez mon histoire
Le Background du personnage

Je suis né en Irlande, et c’est encore là-bas que j’ai construit ma vie.
Ma famille était une famille de nantie si je puis dire. Un père coach sportif de haut niveau, une mère musicienne de renommée internationale. En un sens, j’ai évolué dans un foyer privilégié.

Très jeune, mes parents insistèrent pour que je pratique un sport et la musique. Une volonté pour ma mère que je comprenne son univers, pour mon père que je me maintienne en forme. Aussi, dès l’âge de trois ans, j’ai été initié. J’ai commencé sur le piano de ma mère, apprenant mon solfège, les gestes. J’étais doué selon elle. Mais moi, le piano, même si j’aimais je n’adorais pas. Mon père m’a fait commencer la natation, mais je détestais ça. Enfin, j’aimais bien nager et me prélasser dans l’eau mais en compétition ? Ma sœur aînée, elle, adorait ça pour le plaisir de notre père.

Ce n’est qu’à l’âge de six ans, que je trouvais les activités que j’aimais. Je découvris, à cet âge là, le violon et le tir à l’arc. Le premier, j’aimais beaucoup car j’étais accompagné du piano de ma mère. Et puis, les orchestres symphoniques et le son des violons en particulier me faisaient frissonner. J’admirais des premiers violons de groupe d’orchestre avec des étoiles dans les yeux. Et puis, pour le tir à l’arc, j’aimais le calme que cela demandait. Le travail de tout le dos pour déployer une force. Et honnêtement, c’est vraiment la sensation de ne penser à rien d’autre qu’à mon geste, ma forme, ma flèche, mon arc et ma cible qui me plaisait. On pourrait croire que c’est beaucoup mais au final, on se vide bien plus l’esprit que dans nombres d’autres sports que j’ai essayé.

De là, ma vie continua en un train-train quotidien. J’allais à l’école, comme tout jeune. J’y avais peu d’amis, car j’étais le « gosse de riche ». Mes parents n’ont pas spécialement voulu m’envoyer dans des établissements privées de « notre standing » dirait certain. Enfin, j’ai commencé les concours de violon quand j’ai arrêté ceux de piano : vers mes huit ans. J’ai aussi commencé les concours de tir à l’arc à la même période. N’allait pas croire, je n’ai jamais eu l’esprit de compétition ! En fait, je m’en fichais de gagner ou de perdre… Pour la musique, je voulais juste jouer pour autrui, faire entendre à d’autres mon son. Pour le tir, je souhaitais juste profiter de l’enjeu pour travailler mon calme, savoir rester serein malgré l’ambiance compétitive alentours.

Finalement, à neuf ans je rentrais au conservatoire de musique. Ma mère n’était pas trop pour à l’époque, mais car elle aurait aimé que je fasse des études normales je pense. Elle connaissait bien le milieu de la musique classique pour savoir qu’évoluer en son sein, c’est difficile. Surtout pour un enfant comme moi, qui n’a pas l’esprit de compétition. Je dois avoir tout donné, sur ce sujet, à ma sœur qui était déjà une athlète en nage libre pour qui le pays avait pas mal d’attente.

Moi, j’ai continué d’évoluer. Un peu solitaire, j’ai quand même réussi à m’ouvrir à quelques personnes avec le temps. Souvent des adultes ou des passionnés. J’avais une certaine distance avec les enfants de mon âge. L’adolescence fut le début de changements majeurs. Ma réputation n’était plus à refaire : j’avais gagné de nombreux concours dans mes deux domaines. Il faut dire que je m’entraînais beaucoup : au détriment d’une vie sociale « saine » ou d’activités plus ludique et enfantine. Je préférais aussi réfléchir à des mélodies, à la musique, ou au tir à l’arc que faire mes devoirs scolaires. On ne peut pas dire que j’étais un élève assidu !

Enfin, l’adolescence ça fut le fait de me découvrir moi aussi. Les premiers émois notamment. Je suis en fait un véritable cœur d’artichauts ! Je trouve facilement les autres fascinants, et ceux qui me fascinent m’attire comme si j’étais un papillon de nuit face à la lumière. Mais par chance, mes passions m’ont toujours recentré. Ma sœur participait aux JO quand j’avais à peine la quinzaine d’année ! La star de la famille quant elle rapporta une médaille d’argent. Et en prime, un petit ami qui devint son fiancé et son mari. Mais ça, j’y reviendrais plus tard.

Moi, c’est quatre ans plus tard que je participais aux JO en tant qu’archer. J’ai fini troisième. Mon père était heureux, joyeux, comblé je crois. Moi, j’étais heureux qu’il soit fier de moi. J’avais 19 ans à l’époque donc. Ma vie était nickel. Ma sœur était enceinte, j’allais être tonton. Je vivais en tant que premier violon de l’orchestre symphonique de Dublin. Et je décidais de raccrocher ma carrière de tireur pour me consacrer pleinement à la musique. Une médaille de bronze, c’est déjà top non ? Et puis, je n’avais plus le temps avec mon rôle de premier violon de me consacrer à deux passions. Disons que ma vie sociale était déjà assez absente, en dehors de quelques amours passagers et multiples au gré du vent. Je voulais essayer de m’améliorer sur le sujet…

Mais comme on dit, une vie faite uniquement de joie a parfois quelque chose qui stoppe tout. Ma sœur et son fils, mon neveu, prirent l’avion avec mon père afin d’aller assister à un concert de ma mère. Mon beau-frère était malade, et ne les avait pas accompagnés. Moi, j’avais un concert à Dublin. La malchance, le coup du sort, voulu que cet avion-ci soit victime d’un accident. Je n’ai pas besoin d’en dire plus pour dire que le bilan fut lourd. Très lourd. J’avais apprit la nouvelle à la fin de mon concert… Ma mère, avant le début du sien. Mon beau-frère, aux infos.

Amertume. Regret. Remord. Tristesse. Ma mère était dévastée. Elle finit par ne plus réussir à jouer, et sombra dans la dépression. Mon beau-frère, lui, faillit suivre le même chemin. Néanmoins, on se serra les coudes et ses parents furent là pour le soutenir aussi. Une famille en deuil. Moi, j’avais mal. Je me plongeais dans la musique et l’archerie pour oublier, ne pas penser. Mais quant on a vingt ans, perdre ainsi sa sœur, son neveu et son père c’est dur de faire son deuil. Et puis, je dus faire interner ma mère à cause de sa dépression qui ne la quittait pas et devenait dangereuses pour sa vie. Pour sa volonté de vivre surtout.

Ma vie jusqu’à mes vingt-deux fut donc plus difficile. J’en vain à faire de la Vie et du respect de cette-dernière une sorte de sacerdoce. Je faisais des dons humanitaires, et j’aidais comme je pouvais via des associations ou autre, des personnes démunies. Une façon de guérir mon cœur en aidant d’autres. Puis, un jour, mon beau-frère me parla du Projet Noé. Il était ingénieur spatiale il faut dire. Il comptait y participer et sa famille avait refusé de l’accompagner. Ma mère ne pouvait pas psychologiquement suivre. Moi, je voyais en cette arche une façon d’aider à l’épanouissement d’autrui.

J’ai passé les tests, mue par ma volonté d’apporter un peu de notre culture terrienne par-delà les étoiles. Mue par l’envie d’aider les gens à trouver le bonheur. A 22 ans, je partis donc dans les étoiles. On peut dire que je suis un peu trop gentil et simplet, ça empêche pas que je me sens bien que quant les autres vont bien. Mais voilà, j’étais réveillé lors du crash vous savez. Mon beau-frère était en service il faut dire…

Je m’en suis sortit avec juste quelques contusions, rien de grave. La découverte de quel genre de planète était notre terre d’accueil m’a pas mal fait peur pour tout avouer. Je ne suis pas un grand aventurier et explorateur : du tout. Enfin, tout se mit en place. J’aidais comme je pouvais. Par chance, mon violon n’avait pas été abîmé lors de l’accident. Je me souviens de certains soirs où je jouais des musiques bien de chez moi pour animer quelques fêtes et soirées improvisées. Il fallait bien qu’on se détende dans ce monde inconnu et aux allures parfois hostiles.

Il fut décidé d’utiliser la technologie du vieux Erik. Je me souviens bien de lui, il ronchonnait quand je jouais de la musique pas loin de là où il travaillait. Il appelait ça du bruit ! Quel toupet ! Un vieil homme pas mélomane pour trois sous donc. Mais découvrir que j’étais compatible, ça, ça m’a fait un choc. Peur, terreur, dénie… je suis passé par de nombreuses phases croyez-moi ! La conscription était peut-être signalé, mais moi je pensais qu’au pire du pire, du pire : ça serait pour aider dans les tâches d’aides de camp, ou aux infirmeries. Bref, si vraiment y’avais un besoin de conscription, je ne pensais pas prendre ou toucher des armes !! Je ne suis pas un Guerrier moi ! Je suis un Artiste !

Depuis, j’essaie d’esquiver mon « devoir ». Je me sens mal du fait que mon armure a même détourné ma passion du tir à l’arc pour en faire une arme tueuse. Je sais que les créatures qu’on affronte potentiellement veulent nous manger. Mais, a-t-on bien le droit de les tuer pour notre survie ? La fuite face à leur danger n’est pas mieux ? Pourquoi protection doit rimer avec combat, tuerie, sang et cadavres ? J’ai énormément de mal avec ma nouvelle « fonction » et ce n’est un secret pour personne. Je suis le Guerrier qui a Peur. Je suis le Guerrier qui n’a pas la combativité pour. Je suis le Guerrier qui ne pense pas mériter d’être là. Je suis le Guerrier qui a l’utopie de croire que la violence ne résout rien… En somme, je suis moi.

Derrière le Personnage
Lou Ainsel, 27 ans

» Comment as-tu découvert le forum ? J’ai participé à sa fondation ?
» Comment se nomme l'inventeur des Écailles d'Avalon ? Je m’auto-valide en tant qu’admin : nananère ♥
» Le personnage sur ton avatar : Archer (Tristan) de Fate/Grand order.
» Un dernier mot ? Piou piou !!
Codage ⓒ Mélicendre
https://la-nouvelle-avalon.forumsrpg.com/t184-messagerie-de-cian-o-dubhain



Dernière édition par Cian O'Dubhain le Lun 27 Mai - 19:57, édité 2 fois
Âge du Personnage : 28 ans.
Nationalité du Personnage : Irlandaise.
Métier du Personnage : Violoniste / Guerrier d'Avalon
Multi-Compte ? : Luis R. Higan
Cian O'Dubhain
Cian O'Dubhain


Cian O'Dubhain. La violence ne résout rien... N'est-ce pas ?! Empty
Message Lun 27 Mai - 17:42
Guerrier d'Avalon
Aisling Dearg

» Numéro de Série du Noyau : 421

» Armature : Aisling Dearg est une armure à la physionomie très simple. Armure intégrale, elle ne grandit son porteur que de quelques centimètres tout en gardant ce-dernier à l’abri. Elle reste faite de matériaux résistants, et dispose d’une IA de traitement des données et de soutien. Outre les touches de rouge qui viennent la colorer, c’est une armure d’apparence assez banale mais qui dissimule ses secrets… Elle dispose d’une grande puissance physique, qu’elle peut convertir en vitesse de propulsion aérienne.  
Image Facultative:

» Capacités et Armement : Aisling Dearg n’est pas une armure faîtes pour le corps à corps. Malgré sa résistance, en comparaison d’autres écailles elle est fragile. Cependant, elle dispose d’une importante puissance et de systèmes qui lui permette d’agir à longue et très longue portée avec précision. De plus, Aisling Deargest une petite armurerie qui cache bien son jeu.

Cette armure a clairement été pensée pour un archer. En effet, dans son dos, ses jambes et son bras droit se trouve des caches qui font office de carquois. Ces espaces disposent d’un système permettant le déploiement rapide de flèches customisés. Néanmoins, le carquois dorsal dispose d’une réserve de nanomatériaux afin de produire des flèches anti-blindage s’il a épuisé son stock initial. Les trois autres ne disposent pas de ce système et une fois leurs flèches épuisées, ils ne servent donc plus à rien. Chacun de ces carquois disposent d’une dizaine de flèches excepté le dorsal qui peut en contenir une vingtaine. Le bras gauche, lui, dissimule une lame caché afin de se défendre en cas de corps à corps. Elle doit permettre à l’Aisling de se protéger d’un assaut soudain et de prendre ensuite ses distances.

Pour ce qui est de l’armement fourni par les services de l’UTRD, l’Aisling dispose donc d’un arc customisé et de flèches personnalisées. Son arc est un composite qui permet de déployer une force jamais vu encore. Il permet à l’utilisateur de déployer toute la force motrice de son armure. Pour ce qui est des flèches qu’il utilise en voici le descriptif par carquois. Le carquois principal contient des flèches renforcées dont la puissance permet de transpercer du blindage. Le bras droit possède des flèches explosives. Celles de la jambe droite disposent d’un composé chimique inflammable qui permet l’usage de flèches enflammées. Enfin, le carquois de la jambe gauche possède des flèches à impulsion électrique.

Enfin, l’Aisling dispose d’une IA d’analyse et d’aide à la visée. Cette dernière traite les données et donnent des informations sur le vent, et l’hydrométrie en temps réel à son porteur. Elle permet même des calculs rapides de trajectoire de tirs, mais ce-dernier point a tendance à faire râler son porteur...
https://la-nouvelle-avalon.forumsrpg.com/t184-messagerie-de-cian-o-dubhain

AvalonAvalon


Cian O'Dubhain. La violence ne résout rien... N'est-ce pas ?! Empty
Message Lun 27 Mai - 20:11
Staff
Bienvenu sur La Nouvelle Avalon
Félicitation ♥

Félicitation !
Ton personnage est validé, nous te souhaitons la bienvenue sur La Nouvelle Avalon et espérons que tu t’amuseras bien parmi nous !

Afin de commencer à jouer sur de bonnes bases, nous t'invitons à aller recenser ton avatar afin d’éviter de potentiels conflits quant aux images/personnages pour les nouveaux arrivants. Nous te demanderons aussi d'aller recenser ton métier et ton Écaille si tu es un guerrier. Si ce n'est pas ton premier personnage parmi nous, merci de nous le signaler dans le Registre des Multiples Personnalités.

A tout cela, s'ajoute le fait d'éditer ton Profil. Tu remarqueras qu'il y a de nombreuses informations à y entrer.
C'est facultatif, mais tu peux aussi réaliser une fiche de suivi RP/Relations !
Nous avons aussi la Messagerie pour les rps de type "épistolaires/mail/sms". Le lien de sa boîte est à mettre dans son profil soit dit au passage

Pour te lancer en rp, tu peux consulter ou faire ta propre demande de rp dans le forum mis à ta disposition pour cela ! Tu pourras aussi y faire verrouiller tes topics clos, demander des lieux, trouver le code nécessaire si tu désires proposer des prédéfinis, pnjs, créatures ou plantes à l'administration.

N'hésite pas à contacter le Staff par MP si tu as un problème ou une question.
Merci d'avance en tout cas, de prendre le temps de remplir tout ça. Même si, je le sais, ça fait un peu beaucoup.

Le staff te souhaite, à nouveau, la bienvenue !
http://la-nouvelle-avalon.1fr1.net

Contenu sponsorisé


Cian O'Dubhain. La violence ne résout rien... N'est-ce pas ?! Empty
Message

Cian O'Dubhain. La violence ne résout rien... N'est-ce pas ?!

Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Demande groupée pour Luis et Cian
» [mois 4] Défaire les nœuds. — Avec Cian.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
La Nouvelle Avalon :: Dossiers de l'Équipage :: Présentation :: Validés-