Âge du Personnage : 35 Nationalité du Personnage : Sud Africaine Métier du Personnage : Explorateur militaire/Grade Major Tÿr Mimir
Dim 12 Mai - 13:09
Nouveau monde:
Dans la navette qui filait dans le ciel de notre monde d'adoption,faisant défiler les murs de la colonie puis les immenses plaines fertiles, j'étais assis en tenue de combat, vérifiant mon fusil et mon matériel de survie alors que par les holo écran, apparaissaient les immenses montagnes du massif nuageux encore au loin. Nous étions deux, c'était une mission normalement peu risqué, pour les standard de la planète du moins, l'objectif était simple, trouvé des barrières nocturnes, observé leurs environnement et rester à l'affût de la moindre nouvelle espèce potentiel dans les massif nuageux. j'étais sous la direction du capitaine Higan pour cette mission. Un homme qui devait pouvoir faire jeu égale en terme de force avec une partie de la faune planétaire aux vu de ses énormes bras. Il était connu parmi les hommes pour être juste et pousser les gars vers le haut.
"Arrivé sur zone dans deux minutes." Annonçait le pilote par les radios de nos casque.
Et en effet, deux minutes plus tard, les caméra de la navette nous laissaient voir les étendues rocheuses et enneigé des massifs. Elles s'étendaient à perte de vue et il était encore très perturbant de ne voir absolument aucun signe de vie humaine dans ces régions. Pas de route, pas de pylône de transmission, même pas de cabanes... Voilà qui s'annonçait fascinant.
Massif nuageux:
La navette descend peu après sur un terrain dégagé, restant à quelques mètres du sol et nous sautons à terre sans problèmes avec nos tenues et le matériel.
"Bonne chance équipe Hillary." Résonnait la voix du pilote. "Ont se retrouvent dans 24 heures."
"Bien reçu, soyez prudent sur le retour." Je lui répondais.
Je regardais autours de moi, nous y voilà, les vrombissement des propulseur de la navette s'estompaient peu à peu, laissant bientôt place au presque silence de la nature sauvage. le vent fouettant les hauteurs, les pépiement de créatures inconnus qui s'éloignaient en restant hors de vu.
Je regardais attentivement le terrain, beaucoup de rocher, quelques arbres, le gros de la forêt étaient plus bas sur les flancs de la montagne actuelle, et un tapis de neige partout jusqu'au sommet. J'espérais seulement que les barrière nocturnes ne poussaient pas en hauteur, l'oxygène reste un problème que les tenues pourront gérer mais le froid pourraient nous surprendre car nous ignorons jusqu'où ils peut descendre.
"Capitaine, je suggère que nous établissions notre camp ici, il ne semble pas avoir beaucoup de passage de faune contrairement au bois dense en dessous. Pour ce qui est de trouver des barrières nocturnes, je propose de chercher les endroits que la aune évite en majorité... Mais cela peut aussi nous amener à de gros prédateur encore inconnu." je m'adressais au capitaine pour faire part de mes premières impression sur l'environnement immédiat.
Il fait froid ici, mais il y a moins d'animaux, donc moins de prédateurs potentiel, et je préfère affronter le froid qu'une bestiole inconnu et potentiellement gigantesque.
Âge du Personnage : 31 ans. Nationalité du Personnage : Américano-Japonnais. Métier du Personnage : Capitaine Multi-Compte ? : Cian ▬ Engel ▬ Nozomi Luis R. Higan
Dim 12 Mai - 16:33
Affecter des gens à la sécurité du Mur, et d’autres à quelques escouades dans les plaines ou les alentours, ça va bien cinq minutes. Pour tout avouer, le fait de ne pas pouvoir, régulièrement, participer sur le terrain me rendait maussade. Alors, lorsque je vis qu’une petite escouade était demandée pour récupérer des bulbes de Barrière Nocturne, j’avais demandé la permission au commandement de m’en charger personnellement.
J’observais la fiche des états de service du Major Mimir, avec qui j’allais réaliser cette mission. Rien que du bon. On voit que pour le projet Noé, y’a eu une sacrée recherche et puis, ils n’ont pas recruté au hasard dans les candidatures. Mon paquetage dans le dos, j’avais veiller à porter une tenue standard qui restait pratique tout en ayant une combinaison chauffante en interne. Pas question d’être à la merci des températures. On ne connait pas encore bien le fonctionnement du climat de cette planète. J’observais, sur écran holo, les débuts de relevé topographique de la région où nous allions. J’avais salué mon collègue de mission avant ça, lorsqu’on était monté dans la navette, je ne suis pas un sagouin. Mémorisant les caractéristiques connues de la plante, le message du pilote me fit tout éteindre et m’étirer. Un regard vers le Major, et j’ajoutais :
« Prêt pour la randonnée Major ? »
Si je l’avais déjà rencontré à quelques reprises, je n’avais pas souvenir d’avoir déjà discuté ou sympathiser avec. Bah, si tout se passe bien, je l’inviterais à aller chez Marcus, s’en jeter un ! Rapidement, poser pied à terre. Les gestes sont comme des reflexes une fois la navette laissé. Sécurisation de la zone d’atterrissage. Observation de l’environnement. Je préfère la mer à la montagne, mais cette-dernière me va bien quand même.
Le Major a répondu, et je fais juste les signes que tout est ok. Arme en main, je note la présence de quelques arbres pierreux. Bon point ça, vu leur solidité ils font une bonne protection naturelle. Je me rapprochais de Mimir, écoutant avec attention son analyse.
« Les barrières ne sont actives que la nuit, et si elles sont atteintes par les rayons lunaires. On va devoir chercher une zone où le ciel est dégagé comme un plateau rocheux. »
Mon regard se posa sur l’étendu. Devions-nous aller au sud ou au nord ? A l’est ou à l’ouest ? J’affichais à nouveau le relevé topographique obtenu par des scans de navettes, et les transférer au Major pour la sauvegarde.
« Il serait mieux d’avancer, et d’établir notre camp une fois la cible trouvée. Posons une balise, afin de pouvoir revenir ici si on fait chou blanc, ou pour extraction rapide. Vu le relevé topographique, l’est semble être un point de départ. On doit éviter le couvert des sous-bois. Major, vous avez une expérience de chasseur ? »
Non car pour repérer une piste, ou absence de piste, animal… C’est top un traqueur-chasseur ! Et j’avoue, ce n’est pas ma grande spécialité. Je suis plus doué dans les altercations avec des êtres humains.
« Évitons de rester sur place, notre odeur pourrait attirer je ne sais quoi. »
J’ouvrais la marche, et tout en avançant, j’écoutais son avis ou son expérience. On a 24h pour trouver des barrières, noter sur le relevé le site d’extraction, et surtout : survivre en étant de « simples » militaires. Au fond, c’est bien pour ça que j’ai signé. Et cette pensée me tire un léger sourire.
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Dim 12 Mai - 17:02
Tranquilité:
Je suis les ordres de mon officier et alors qu'il commence à peine à en parler, je sortais déjà la balise, petit cylindre de métal émettant sur les fréquences militaires, et je la fixais dans le sol. Les "pattes" de la balise se plantèrent dans la roche et je rejoignais le capitaine. je répondais aussi à sa question, essayant de ne pas laisser paraître la tristesse de celle ci.
"Les animaux, avec un appareil photo... Il n'y a que des hommes que j'ai chassé au fusil, mon capitaine."
Ensuite je me penche sur les relevé topographique... En effet, les bois s'étendait très loin ver sl'ouest, donc possiblement beaucoup de prédateur, mais cela voulait aussi dire plus de plante. Cela dit nous ignorons comment et où pousse exactement la barrière nocturne.
Je suis le capitaine vers l'est, restant aux aguets, ce n'est pas parce que je ne vois pas de faune qu'il n'y en a pas ici. Nous traversons des pans entier qui sont sous la neige, une neige pur et pour le moment sans trace. Nous passons ensuite par un pan rocheux qui reste assez traître, les rochers sont parfois en équilibre précaire. Plusieurs fois ont se retient l'un l'autre par nos harnais quand des rochers commencent à se défausser sous nos bottes épaisses.
au travers des nuages:
Malgré cela, après plus de deux heures de marche, nous atteignons un autre versant de cette montagne ci. Et la vu ne fait que me rappeler l'immensité des lieux et notre insignifiance totale. D'autres montagnes s'étendent aux loin comme un véritable champs de pierre qui tente de rejoindre le ciel, empalant des lac entier de nuages blancs et cotonneux. Nous avons une vue imprenable et en plus en hauteur. je fais alors signe à mon capitaine, après avoir vu quelques étranges mouvement blanc sur une partie enneigé du versant, mon casque zoom sur un troupeau de giga bélier en contrebas qui traverse la zone paisiblement.
"Capitaine, si nous restons en hauteur, nous pourrions voir à la tombé de la nuit la luminosité des bulbes de barrières nocturnes. Nous profitons d'un monde sans pollution lumineuse, cela va nous faciliter la tâche." je proposais au capitaine en suivant quand même le troupeau de giga béliers.
Je n'avais guère envie de devenir une quille de bowling face à eux si quelque chose les fait paniquer. Et peut être que si ils évitent des zones, si je les observent suffisamment, cela indiquerait des plans de bulbes?
Âge du Personnage : 31 ans. Nationalité du Personnage : Américano-Japonnais. Métier du Personnage : Capitaine Multi-Compte ? : Cian ▬ Engel ▬ Nozomi Luis R. Higan
Dim 12 Mai - 18:37
Je lui fis un sourire un peu désolé, vu son expression à mon interrogation.
« C’est bien la photographie aussi. Et vu les paysages et rencontres qui nous attendent, vous allez avoir de quoi faire Major. »
Même moi, qui suis très cosmopolite comme type, j’étais touché par la splendeur de ces terres sauvages. L’homme ne peuple pas le moindre coin de cette planète. Et nous savons que même si on s’installe, il faut penser à préserver ses biotopes. Mais aussi, ne pas refaire les erreurs de nos ancêtres et surpeuplé un monde au détriment de la nature.
Pour notre avancée, je prenais le partit que la barrière ne devait pas pousser dans les bois. Ou peu. Vu la hauteur des cimes, les bois sont facilement sombres et rien n’indique de clairière suffisamment dégagé. Et puis, jusqu’ici, c’est bien en milieu forestier que les prédateurs les plus compliqué à gérer ont été repérés. En forêt, ou bien dans les cieux. Aussi, il m’arrivait de lever les yeux pour observer le ciel d’un bleu éclatant. Cette absence de nuages me rassurait : on verrait arriver un hippogriffe avant qu’il ne soit trop tard. Je n’ai pas trop envi d’être béqueté par une sorte de chimère sorti d’un conte médiévale fantastique !
Le chemin se veut silencieux, pour ne pas se faire repérer. Et aussi car, j’avais la sensation que de discuter, dans un tel paysage, c’était en briser la sérénité. Oui, il y a comme de la magie à cette étendue sauvage. C’est dépaysant, j’aurais jamais crut ça possible à ce point. J’apprécie ce duo respectueux et silencieux avec le Major Mimir. Nous nous entraidons dans les passes compliqués. Nous surveillons ce que l’autre ne peut voir et observer. Une ou deux fois, je lui montre des arbres pierreux que je trouve amusant dans leur forme. Y’en a un, on aurait dit une grosse pomme !
Lorsqu’on se stop un peu, une étendue magique sous les yeux, je ne peux empêcher une forme de sérénité de s’emparer de moi. C’est pour ce genre de paysage, ce genre d’instant, que j’ai signé ma candidature. Moi, si massif, je me sens alors ridiculement petit. Et un sourire doux se peint sur mon visage anguleux, trahissant mon bien-être face à cette splendeur. Même moi, je suis sensible à la pureté d’un lieu inviolé.
C’est le signe de mon camarade qui détourne mes yeux de la vue. Je zoom dans la direction qu’il me montre, et le troupeau de giga-bélier qu’on aperçoit un peu plus en contrebas me ravit le cœur. Si on ne trouve pas ces plantes, on aura au moins vu ces belles bêtes. J’en profite pour noter, sur le relevé topographique, la position du troupeau. Notifier aux scientifiques où on a aperçu certaines espèces déjà identifié, ça les aide il paraît.
La suggestion émise par le Major me plait pas mal. Validant l’entrée que je venais de faire, je répondais alors.
« C’est une bonne idée. Nous sommes sans couvert, en dehors de la neige et de quelques rochers et arbres pierreux. De quoi se camoufler si on observe une approche aérienne. La seule crainte, c’est l’existence de prédateurs nocturnes inconnus. Mais bon, le danger reste présent de jour aussi alors bon. »
Je le voyais qui suivait toujours du regard, mais aussi de quelques pas, le troupeau. Posant ma main sur son épaule, je zoomais aussi un peu sur le troupeau qui semblait brouter des herbes qui dépassaient de la neige.
« Je serais curieux de savoir ce qu’ils mangent… D’ailleurs, ça me surprend. On les a surnommé Giga-Bélier mais, le bélier, c’est le mâle du mouton. Vous croyez que ce sont des troupeaux de mâles ? Ou les femelles disposeraient des mêmes systèmes de défenses ? »
En fait, je meurs d’envie de les approcher mais la sécurité et la pensée de pouvoir faire capoter la mission par une bêtise m’en empêche. Cela manquerait de sérieux, et de rigueur. Pour autant, j’ajoutais.
« Faisons une pause, Major. On ne peut descendre tant que le troupeau est là. On risquerait de les faire paniquer. D’après les données, ils sont autant craintifs que curieux alors, si on a de la chance, y’en a un ou deux qui nous approcheront. »
Et face à ces dires, je paramétrais une nouvelle balise. L’espace étant suffisant pour une navette, ça nous faisait un nouveau point d’extraction possible. Et puis, les signaux programmés étaient ceux pour informer le commandement que tout était sous contrôle : à l’heure actuelle.
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Dim 12 Mai - 20:50
Je hochais la tête, l'idée d'une pause était plaisante, j'ai beau avoir des jambes artificiel, elles pompent tout de même de mon sang et de mon endurance. Je m'asseyais au sol le fusil quand même entre mes jambes. j'avais plus la crainte de voir comme le capitaine un hyppogriffe nous tomber sur le museau, que de tomber sur d'autre prédateur pour l'instant.
Je réfléchissais un instant aux questions du capitaine. je me permettais d'y répondre sur la fréquence radio, afin que nos mots ne nous fasse pas repéré.
"Le problème d'être sur une autre planète c'est que les règles peuvent être totalement changé par rapport à ce qu'ont connait. J'imagine que les gigas béliers gratte la neige pour manger les végétaux en dessous, ou alors vont ils de prairie en prairie sur les versant des montagnes en passant par des coin moins peuplé comme ici..." Je suggérais, avant d'ajouter. "Ils sont peut être tous hermaphrodite, ou peut être que ce sont les femelles qui ont des défenses, ou même ont ils peut être trois sexe au sein de leurs espèce pour se reproduire... Tout est envisageable ici."
Cela dit, alors que nous en discutions, je voyais alors grâce aux capteur de mon casque que quelque chose de bien plus petit se mouvait parmi les gigas béliers. J'en faisais alors part au capitaine. Synchronisant nos capteur pour voir les mêmes choses... Par tout mes ancêtres, oui. Durant un instant, le coin de mes lèvres se redressèrent en un début de sourire depuis bien des années.
"Capitaine, je crois que... C'est peut être un jeune giga bélier." Hypothéquais je alors.
En effet, le sosie du bélier terrien en vue, n'avait pas de corne e tétait bien plus petit que ses congénères et surtout, il n'était pas unique. En y regardant bien, d'autre petits évoluait, serré au sein du troupeau... Un instinct de protection des jeunes peut être? Nous sommes resté de longues minutes à enregistré les images, les scientifiques de la colonie allaient adorer cela. Il était aussi apparu, que parfois certains des animaux grattais en effet sous la neige pour en sortir une espèce de végétal que nous n'avons pas réussis à enregistré convenablement au vu de l'angle des capteurs. C'est après deux heures d'observation que quelque chose changeait alors radicalement le déroulement de cette mission.
Un hyppogriffe était en train de piquer droit sur le troupeau. Aussitôt repéré que je m'étais camouflé derrière l'un des arbres pierreux qui étaient proche, arme épaulé... J'attendais que la scène de chasse se termine, enregistrant de manière macabre l’attaque, qui était tout aussi importante pour les chercheurs. Néanmoins, je voyais le capitaine qui était fixé sur quelque chose d'autre...
Âge du Personnage : 31 ans. Nationalité du Personnage : Américano-Japonnais. Métier du Personnage : Capitaine Multi-Compte ? : Cian ▬ Engel ▬ Nozomi Luis R. Higan
Jeu 16 Mai - 19:49
Sa réponse m’interpella, car c’était une réflexion assez poussé sur le sujet. En un sens, j’étais agréablement surpris. Je n’avais pas vraiment réfléchi au fait que ça puisse être aussi différent. En réalité, j’avais encore du mal à quitter les comparaisons avec la Terre. Cette notion de vivre dans un monde où la Vie est différente de la nôtre, de base, ça me surprend. Je me dis que c’est le genre de chose qui auraient plut à Kay, mais il a préféré la Terre au voyage et ça, je ne lui en voudrais jamais.
« Bonne analyse. Hum… De ce que j’en vois, c’est plutôt des feuilles qu’ils mangent. Elles ont l’air de pousser à travers la neige… »
J’avais aussi utilisé la radio pour répondre. Et surtout, j’utilisais les jumelles à leur capacité maximum. Mais axé sur le sol, comme pour essayer de déterminer leur nourriture. Si je pouvais faire un cliché, ça intéresserait probablement les blouses blanches de la colonie. Pour autant, la notification du Major me fit me détourner de cette observation. Et j’eu du mal à retenir ma pensée du moment. Bordel, des giga-agneaux ! Ils sont trop chou en plus ! Si on est pas veinard là !
« Je ne serais pas surpris, oui… »
Je le trouvais bien plus élégant que nos béliers terriens en tout cas. Y’avais ce côté pas assuré qu’on les bébés animaux. Les mots « cute » et « kawai » se disputaient la place dans mon esprit pendant quelques instant. Je suis sensible à ce qui est adorable, la preuve en est que j’ai décidé d’être un super grand-frère en voyant Marie bébé.
On notait et enregistré tout ce qu’on pouvait. Je me disais que si on ne trouvait pas de barrières nocturnes, on ne rentrera pas sans rien non plus. Et puis, le troupeau ne bougeait toujours pas ce qui rendait assez compliqué le fait de continuer notre excursion. Pas sans détour tout du moins.
J’avais enfin un angle de vue sur la nourriture des béliers, que je fus notifié de l’attaque par le major. Je lâchais un shit entre mes dents, tout en glissant derrière le plus gros arbre pierreux. Enfin, encore heureux que je porte une tenue dont les teintes sont adaptées à ce milieu, car vu ma carrure… C’est difficile d’avoir un couvert parfait putain ! Même en étant au sol…
Comme Mimir, j’observais la scène. Mais surtout, dans la cohue des bêtes, je remarquais un fait. Ok, deux faits. De un, la bestiole aérienne venait d’attraper par la gorge un giga-bélier et le soulever. De deux, les plantes qu’ils bouffaient ce sont des barrières nocturnes non fleurit !!! Et de trois, car y’en a trois finalement, le troupeau s’éparpillait et vu les mouvements en spirale ce n’était pas bon pour nous ça.
« Major, on va être pris dans leur fuite. »
Et hors de question de rester les bras croisés à attendre que des animaux plus massifs et gros que moi nous passent dessus ! Mon regard est sérieux, alors que j’analyse. Je transmets au major quelques données. Il y a, d’après le relevé topographique, moyen de se laisser glisser jusqu’en bas. Ce qui si on a le bon timing nous fera descendre rapidement en luge improvisé… Pendant que les autres remontent. Mais le danger, c’est que l’hippogriffe change de cibles !
« Go ! » Dis-je, quand le timing me parait le bon. Pas le temps d’attendre l’assistance de calcul de l’IA de soutien. Ici, c’est l’instinct !
La luge improvisé, mon paquetage en l’occurrence, est pas stable du tout. J’aurais du chopper un morceau de bois putain. Arme à la main, c’est donc sur les fesses que je descend de la montagne. Mon casque enregistre ce que je vois, y compris le troupeau qui nous frôle sans nous embarquer. Par contre…
« Major ! L’hippogriffe ?! »
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Ven 17 Mai - 20:30
Ambiance guerrier.:
combat perdu, mais vivant.:
Je m'élance à la suite du capitaine en me servant de mon sac comme luge. Nous avons la chance qu'ils soient prévu pour être étanche et donc plus apte à glissé sur de la neige comme ici. Le plus dur n'est pas de glisser mais de maintenir une trajectoire qui reste hors de collision de giga bélier. Je parviens à passer sous les pattes de l'un d'eux, j'esquive de justesse un autre qui galope en bêlant de panique. Hélas, le troupeau est paniqué et même si l'hippogriffe a trouvé sa première proie, un deuxième survole les bêtes en semblant chercher sa cible, c'est un hippogriffe plus petit cela dit.
C'est en cherchant à surveiller le volatile mythologique que je me retrouve avec un bébé giga bélier de la taille d'un chien qui m'arrive dans les bras. C'est après lui avoir lancer un regard à travers ma visière que je relève les yeux suite à l'appel de Higan... L'hippogriffe à trouvé sa proie. Et elle est recroquevillé contre moi!
je vire à gauche pour esquiver un premier passage de l'animal volant qui laboure la neige et al terre juste là où je me trouvais auparavant. Je cherche le capitaine des yeux mais les gros béliers me bouchent la vue! Je prend le giga bélier dans le bras droit, utilise la gauche pour virer encore en suivant la balise de mon officier en traçant ma trace dans la neige te al terre gelé.
Je revois enfin mon supérieur et l'interpelle en armant le bras et lui lance l'animal dans mon bras droit. Heureusement nous ne somme pas trop éloigné à ce moment mais l'hippogriffe me prend par surprise et même si mon corps évite les serres acéré, elles se coincent dans mon paquetage et me traînent vers le haut de la montagne. J'use de mon couteau de combat pour rapidement défaire les lanière et tomber de quelques mètres sur la neige et les pierres... C'est douloureux même avec la tenue de combat, mais mieux que de finir entre le bec de l'hippogriffe qui revient dans ma direction.
J'arme mon arme et les balles (que j'ai gardé spécialement à cartouche à poudre pour effrayer les animaux par son bruit.) détonnent en étant craché par le canon du fusil d'assaut. Les tirs ratent leurs cible mais la bêtes vire de direction et me tourne autours. Je tente d'autre rafales mais elles sont esquivé. Il est trop loin se salopard.
"Capitaine, un coup de main serait apprécié ici." J'émet sur la radio.
Un coup d'oeil sur le relevé radar éloigne mes espérance. Le capitaine à atteint le bas de cette zone, il va avoir du mal à remonter rapidement.
Je respire profondément alors que l'être mythologique refait une charge droit vers moi... Il semble alors prêt à viré de l'aile à tout instant, alors je prend un risque. J'attend. Les nombres signifiant sa distance sur le réticule de visé baisse à une vitesse effrayante, des signaux d'alerte s'affiche. Je tir alors qu'il est à moins de dix mètres, une série de dix balles perforantes déchire l'espace entre nous et la créature parvient à en éviter la moitié mais l’autre se plantes à la naissance et sur son aile gauche. Néanmoins en s’écroulant au sol, il parvient à lever les serres vers moi et je saute sur le côté, trop tard... Les lames acérés touche mon bras gauche et déchire la tenue conçu pour les parades d'armes modernes. j'étains rapidement tout les signaux nerveux, une partie de mon sang passe dans mes prothèses, les clapet anti hémorragie se mettent en place alors que je me redresse mais une trace rouge est visible le long de mon membre blessé.
L'hippogriffe me fait face, il hurle vers moi et approche, bien plus gauche sur ses pattes, et je tire dans sa direction en me déplaçant. La plupart des balles se perde dans le paysage somptueux des montagnes, les détonations semblent apocalyptique dans se silence auparavant inviolé.
Malheureusement, même si deux projectiles touchent le poitrail du volatile, il parvient lui à me frapper de sa queue en plein abdomen et entaillé ma jambe artificiel droite. Je me redresse, il me fixe, un duel mortel sur une montagne perdu. Je lève mon arme mais le clic du chargeur me fait bondir le coeur, il charge, je jette l'arme sur son bec, il la brise dans celui ci. je dégaine mon couteau de combat, l'hippogriffe me percute et me met au sol, il lève la patte avant droite, je me redresse en hurlant malgré la souffrance de mon abdomen et plante l lame dans son cou massif... Il hurle à son tour de douleur et recule alors que je retombe au sol.
IL semble revenir à la charge, mais quelque chose le fait changé d'avis et il s'enfuit sur ses pattes avec rapidité. Je retire mon casque maintenant déchiré par un coups de serre et profite de la fraîcheur de la neige sur ma tête.
"venez découvrir le paradis..." Je murmurais en récitant un slogan du projet Noé. "Les anges laissent à désiré." Je gloussais en toussant.
Pour moi ce combat à duré des heures, surement quelques minutes en réalité. Mais là, je veux juste dormir. Mes implants rétiniens affiche une somme de donnée médicale affolante et mauvaise, je vais devoir me faire révisé ont dirait... Puis, c'est l'inconscience.
Proposition pour la suite ^^:
Si tu le souhaite, ont peut clôturer sur le capitaine Higan nous ramenant à la zone d'extraction sur ses épaules musclés! et ainsi faire de lui un sacré héro Celui qui a sauvé son soldat et ramené un bébé giga bélier x)
Âge du Personnage : 31 ans. Nationalité du Personnage : Américano-Japonnais. Métier du Personnage : Capitaine Multi-Compte ? : Cian ▬ Engel ▬ Nozomi Luis R. Higan
Sam 18 Mai - 12:04
Tout est une question d’instinct, et surtout, de réflexes. La descente en luge au milieu de la cohorte, enfin plutôt sur ses abords, file droit et vite. Mais alors que je remarque que l’hippogriffe semble plus petit que dans les rapports, et n’a pas un giga-bélier mais un petit de l’espèce entre ses griffes… un mouvement étrange de la balise du Major me fait chercher la scène du regard. Il y avait deux jeunes hippogriffes putain ! Je jure dans ma barbe inexistante, alors que je vois le Major esquivait un premier assaut. Merde ! Je stop ma descente avec violence, avec la ferme intention de porter secours à mon camarade. Pas question que ma première sortie depuis longtemps, je perde quelqu’un dans l’exercice de ses fonctions ! Inacceptable !
Il m’aperçoit, me fait signe. J’ai mon arme en main, et je cherche un angle de tir qui n’agitera pas les giga-bélier qui me frôle encore parfois pour les « retardataires ». C’est seulement là, que je remarque ce que porte le dénommé Tÿr Mimir. Faut dire, son lancer soudain me surprend autant qu’il réveille mes réflexes de l’époque où j’ai testé le baseball. L’animal réceptionné, son bêlement fait un peu paniqué et ses tremblements me dissent clairement qu’il n’est pas en forme le petiot ! Tant qu’il ne me lâche pas entre les bras, je ne veux pas ramener une dépouille de bébé agneau aussi gros qu’un chien ! J’abandonne mon paquetage, tout en émettant le signal pour une extraction d’urgence. J’ai inséré un code qui indique une attaque de prédateur aérien, que la navette soit prévenue.
« Renforts et extraction demandée ! Faut qu’on tienne Major ! »
J’avais retenu le sanguin et nerveux « j’me branle à ton avis ? » à sa demande de coup de main. Mais avec un giga-agneau sous le bras, mon arme de l’autre, je tirais d’abord des bombes fumigènes tout en passant en vue thermique. Si je pouvais éviter que la bestiole et moi, on soit à notre tour pris pour cible : ça m’ouvrira une meilleure fenêtre pour porter secours à mon compagnon d’arme.
Mon action fit en sorte de disperser le troupeau tout en libérant le chemin pour essayer de rejoindre la lutte que je pouvais voir. Je courrais afin d’être à porter de tir, mais la proximité grandissante du Major avec la créature ne m’assurait pas une fenêtre de tir correct. Et pas question que je flingue un pote par erreur !
Un son strident dans le ciel m’indique que l’autre hippogriffe revient. Bordel ! Je cale le giga-agneau contre moi, à l’aide de mon paquetage. Il bêle et tremble de terreur. Mes deux mains libres, je me mets à canarder au gros calibre la seconde bestiole. Le Major galère avec un, il ne va pas en avoir deux connard ! Le son puissant, ne cause pas d’avalanche à mon grand bonheur. Mais il ne semble pas plaire à l’hippogriffe qui voit plusieurs de ses plumes et rémiges touchées. Son vol se fait difficile, je recharge. Finalement, d’un vol incertain, il s’en va. Ces quelques minutes de perdues pour secourir le Major me font tourner vivement le visage vers lui.
L’hippogriffe qui l’assaillait est à terre : inerte. Mais lui aussi. Le radar m’indique sa position mais la neige doit le dissimuler à mes yeux avec l’effet du dénivelé. On m’annonce l’approche de la navette sur notre position. Agneau sous le bras, arme en bandoulière, et paquetage sur le dos je fonce vers le major. A la vue de son état, je serre les dents. Et sa réplique me fait rire malgré moi.
« J’suis pourtant pas dégueulasse, Major ! »
Mais j’ai à peine fini ma boutade, qu’il s’évanouit. Je sors le matos de premier secours, afin de le stabiliser comme je peux. Il saigne au niveau de la tête, je vais éviter de la déplacer de façon idiote. Je précise qu'un soldat est à terre, on me répond qu'ils sont en chemin avec un toubib. L’animal bêle contre moi, et son museau vient se frotter à ma main alors que je termine de mettre des compresses et d’inoculer un stabilisant sanguin. Une caresse sur le haut de son crâne me fait penser que par son action, le Major a sauvé un p’tit animal bientôt plus grand que moi. Mais bon, on ne va pas le laisser sans son troupeau, et avec une odeur humaine le petiot. Les chefs vont crisser !
A l’arrivée de la navette, je laisse le médecin de bord s’occuper de mon partenaire. Je redescends rapidement, prélever les bulbes de barrières nocturnes. L’équipe de sauvetage, elle, s’occupe de sécuriser et de prévoir le transport de la carcasse d’hippogriffe. On repart finalement, et j’ai le giga-agneau entre les bras qui semble ne pas vouloir s’éloigner. Comment je vais tourner mon rapport moi ? Paie ta responsabilité, Cap’tain Higan. Mais bon, en attendant, j’ai bien mérité une petite sieste… D’autant qu’on m’assure que l’état du Major Mimir est stable.